Nadakai Gakuen

Nadakai Gakuen, lycée prestigieux au Japon. Venez incarner un élève, un membre du personnel ou un simple civil. Forum classé NC-16 (yaoi/yuri/hentai autorisés)
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 We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100%

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We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100% Empty
MessageSujet: We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100%   We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100% Icon_minitimeLun 14 Avr - 14:25

Votre personnage

Base du codage utilisé


PART I



N O M : Fujiwara.

P R E N O M S : Nagendra, Darshan.

A G E : 25 ans.

S E X E : Homme.

S E X U A L I T É : Bisexuel.

N A T I O N A L I T É : Japonaise, origine indienne.

P O S T E : Professeur de philosophie.


PART II



P H Y S I Q U E :

Nagendra a un physique tout ce qu'il y a de plus banal, on peut le croiser dans la rue sans s'apercevoir qu'il rôde, là, tapis dans l'ombre, prêt à s'évaporer. Il se mélange dans la foule compacte et noire, il se faufile et à vrai dire, il préfère cela plutôt que de se faire remarquer. Au milieu de tous ces styles différents voire étranges que l'on peut remarquer au Japon, il passe presque inaperçu, à son plus grand plaisir. Si l'on devait faire une description un peu plus détaillée voilà ce qu'on en dirait; le japonais, quand on le regarde, paraît plutôt grand ou de taille normale pour un jeune homme de son âge et de poids normal quoiqu'un peu plus gros que la moyenne japonaise peut-être. Il faut dire que son métier ne lui donne pas l'occasion d'exploiter une capacité sportive quel qu'elle soit et de toute manière, il n'aime pas le sport en général. Il mesure environ 1m75 pour peut-être 73 kilos. Il ne se mesure ni ne se pèse pour ainsi dire presque jamais tout simplement parce qu'il s'en moque éperdument. La seule chose qui peut faire que l'on remarque Nagendra sont ses cheveux. Non pas que sa coupe soit extrêmement élaborée ou particulièrement étrange, il s'agit en fait d'une simple coupe courte qu'il prend à peine le temps de coiffer le matin par manque de temps dit-il mais particulièrement par manque d'envie; il laisse donc ses cheveux faire ce qu'ils veulent sans en avoir cure. Non, en fait, ses cheveux sont légèrement violets. Étant jeune et insouciant, il se fit cette couleur sur un coup de tête vers l'âge de 18 ans et s'y fit tellement bien qu'il la conserva. Oscillant entre le prune foncé et le noir naturel, c'est bien là la seule excentricité qu'il se permet dans son look. Cependant, le tout étant plutôt foncé que véritablement flashy, peu de personnes y accordent une véritable importance. Ses yeux, eux, comme la plupart des japonais sont d'une couleur également foncée puisqu'il possède des yeux noirs. Des yeux profonds, envoûtants, sombres comme un puits dont on ne parvient pas à distinguer le fond. Toutefois, sa vue est profondément altérée à force de passer du temps sur l'ordinateur comme un adolescent. Il doit donc parfois porter des lunettes avec lesquelles on le voit assez rarement car, selon lui, elles le gênent plus qu'autre chose. Son visage est assez doux, avec des traits quelque peu féminins. Il sourit assez régulièrement soit parce qu'il n'as pas envie de parler soit parce qu'il n'a rien à dire. Le reste de son visage est assez banal, un nez de taille plutôt moyenne et de même pour la bouche qui esquisse parfois de doux sourires donc et ce, pour abuser de jeunes demoiselles et de jeunes jouvenceaux. Le tout se termine par un menton bien dessiné qui termine le toutefois plutôt beau minois de Nagendra.

Le reste de son corps est plus banal et moins intéressant à détailler. Ses bras sont de taille moyenne, se terminant par des mains assez fines qu'il utilise notamment pour jouer du piano lorsqu'il trouve le temps. Les ongles sont parfois légèrement rongés par l'excès de stress ou le manque de sommeil. Il possède un seul et unique bracelet qui porte pour inscription Tara qu'il porte à son poignet gauche afin qu'il ne le gêne pas pour écrire. Cependant, si un inconnu lui en demandait la signification, il esquisserait un simple sourire avant de détourner la conversation. Si ses bras ne paraissent pas bien musclés, ils ont eu, dans le passé, l'habitude porter des coups. Il ne faut pas sous-estimer la force qui y règne sûrement encore un peu, bien qu'il ne batte plus comme dans sa fougueuse jeunesse. S'il n'a pas un grand rebelle, le fait qu'il puisse avoir mauvais caractère lui a, de temps en temps, jouer des tours. Son torse, tout comme le reste de son corps, est assez peu développé dû à sa grande flemme de faire du sport, préférant rester devant son ordinateur à coder ou se cultiver sur certains domaines qui l'intéresse. On pourrait presque dire qu'il a un léger, très léger ventre à cause de la bière qu'il aime boire lorsqu'il rentre chez lui. Cependant, et vu qu'il oublie parfois de manger, il reste de poids assez moyen et fait un minimum attention pour ne pas trop grossir et perdre l'attrait qu'il peut exercer. Car s'il ne se considère pas comme un Apollon, il sait qu'un beau sourire charmeur et un petit clin d'œil peuvent totalement séduire la personne qu'il convoite. Enfin, son corps se termine pas des jambes assez longues par rapport au reste et des pieds d'homme, normaux, de taille, encore une fois, plutôt moyenne.

Le style vestimentaire de Nagendra peut se résumer à "J'ouvre la porte de mon armoire cinq minutes avant d'être à la bourre et je prends ce qui vient sans regarder". En d'autres mots, il se fiche totalement de la mode ou de tout ce qui peut entourer cet univers en général. Mais son armoire possède une large palette de vestes souvent dans les tons assez foncés histoire d'avoir un minimum de classe et d'élégance. La plupart de ses habits sont dans des tons totalement basiques à savoir le gris, le noir, le blanc voire le marron. La seule chose dont il ne peut se passer est un long manteau noir qui lui descend presque aux genoux. Ses chaussures sont soit des noires, classiques soit des rangers certes moins élégantes mais beaucoup plus confortables à son goût. Étant donné qu'il se rend dans les magasins de fringue très rarement, son armoire n'a pas connu de renouveau depuis au minimum un an, ce qui ne semble pas déplaire au japonais. Il porte très peu d'accessoires hormis des ceintures et un unique bracelet.

P S Y C H O L O G I Q U E :

"Cher Nagendra,
Je suis sûr que tu te souviens de ce jour où Tara a été enterrée. Ce jour où je t'ai pris dans mes bras, ce jour où on est allés boire dans un bar, ce jour où tu m'as confié tellement de choses. Je me souviens surtout du fait que tu m'as demandé si tu deviendrais un psychopathe sans cœur suite au décès de Tara. Nagendra, tu es resté le même. Tu es toujours le petit garçon que j'ai connu, celui qui ne ferait pas de mal à une mouche sauf pour la justice. Comme au collège lorsque tu as tabassé Mizuno parce qu'il avait dit à un gars d'une classe voisine qu'il était trop gros. Tu t'étais fais engueuler par les profs, tu avais pris beaucoup de remarques mais tu n'avais pas bronché. Tu n'avais rien dis parce qu'au fond, tu savais ce qui s'était réellement passé et pas eux. Tu n'avais même pas essayé de te défendre. Et depuis ce jour, Mizuno avait commencé à avoir peur de toi. Le pauvre. Qui aurait pu croire que tu lui mettrais une telle raclée ? Toi le mignon, le gentil et l'intellectuel Nagendra en train de te battre avec un membre de l'équipe de football. A l'école, tu ne prenais jamais la parole parce que ça te faisait chier comme tu disais. Tu restais dans ton coin à écouter le cours ou à lire discrètement des bouquins sur tes genoux. Tu passais ton temps à la bibliothèque; certains se demandaient si tu n'essayais pas de battre un record tellement tu lisais de livres. Tu prêtais aussi tes devoirs à tous ceux qui te le demandaient. Sans te rendre compte que ces filles qui voulait recopier tes notes voulaient tout simplement essayer de t'approcher. T'as toujours eu du succès faut dire. Je suis encore stupéfait aujourd'hui que tu sois sorti avec aussi peu de gens; tu as toutes les qualités dont quelqu'un puisse rêver. Tu es une personne gentille, affectueuse, drôle, juste, intelligente. Mais je suppose que cela ne comble pas tes nombreux défauts. Car même si je suis ton meilleur ami, je ne peux pas gommer le fait que tu sois borné. Et ne dis pas le contraire car ça ne ferait que le prouver. Quand tu veux avoir raison, tu ne lâcheras pas le morceau. Une vraie tête de mule. Le pire c'est que même lorsqu'on te prouve que tu as tort, tu n'es pas d'accord. Mais je suppose que cela fait partie de ce que tu es.

Je sais que tu vas intégrer un lycée pour devenir professeur de philo. Je sais aussi qu'avec ton caractère, tu vas bien finir par balancer des livres à la tête des étudiants qui n'écoutent pas. Mais je sais aussi que tu arriveras à les passionner, à leur donner envie de s'intéresser à la philosophie car lorsque tu parles, on ne peut que t'écouter. Dire que lorsque tu avais 6 ou 7 ans, tu ne parlais presque jamais, on devait te forcer à répondre aux autres. Tu es finalement devenu un excellent orateur au point de pouvoir devenir professeur. Ne les persécutent pas trop tout de même ou ils se plaindront au directeur. Mais je tiens aussi à te dire que je suis très fier de toi. Tu as cru que tu ne pourrais jamais te relever suite au décès de Tara. Mais tu as été bien plus fort que je ne le pensais. Que tout le monde ne le pensais en fait. Tout ton entourage croyait que tu ne parviendrais jamais à tourner la page, que tu vivrais sans cesse dans le passé. Il est vrai, je pense, que tu as encore du mal à t'imaginer un avenir fixe. Toi qui rêve d'autres pays, d'autres paysages, d'autres horizons. Tu es à mi-chemin entre le passé et le présent. Si tu as réussi à contourner la mort de Tara, tous ces souvenirs de famille heureuse, parfaite avec des parents aimants sont bien trop prégnants pour que tu réussisses à les oublier, à les laisser dans un coin de ta tête. Je te connais par cœur, je sais comment tu fonctionnes. Tu es là, à lire un livre et soudain tu lèves la tête, tu regardes par la fenêtre. Tu penses à autre chose, tu repenses au passé. Tu sais que tu ne peux rien changer, qu'il est figé. Ce n'est pas de la nostalgie, pas vraiment. C'est simplement que ça cela te fait du bien d'y penser. Tu sens vivant.

Lors de cette soirée où l'on a (un peu trop) bu, tu m'as dit que tu voulais que Tara puisse être fière de toi. Mais tu sais, je pense qu'elle a toujours été même lorsqu'elle était en vie. Tu as toujours veillé sur elle comme un ange gardien, tu as toujours été là dans les pires moments avec elle. Et je suis sûr que de là où elle est, elle est encore plus fier de toi aujourd'hui. Mais elle sait que tu n'es pas vraiment heureux. Elle sait qu'il te manque quelque chose. Si tu n'est pas devenu un asocial sans cœur, tu as perdu quelque chose le jour où Tara est morte. Il serait peut-être temps de le retrouver. Il est temps que tu avances, il est temps que tu fasses ta vie, que tu trouves quelqu'un. Tu as toujours veiller sur Tara, tu n'as jamais pris aucune relation véritablement au sérieux parce que tu avais promis à tes parents que tu serais toujours, toujours, toujours là pour elle chaque seconde qui passerait. Il est temps que tu penses enfin à toi et que tu trouves quelqu'un. Si tu te dépêches pas, tu serais bientôt trop vieux pour te marier, mon gars. Sur ce, je te laisse. Je ne pouvais pas te dire tout cela en face, je sais que tu es actuellement dans le train pour rejoindre l'école où tu enseigneras car je t'ai fais promettre de ne lire qu'à ce moment-là. Donne moi de tes nouvelles rapidement et fais attention à toi. Et surtout, Nagendra, ne change jamais. Même si tu as un caractère de cochon, que tu bois un peu trop, que tu as un sens de l'orientation catastrophique, que tu es impatient et totalement bordélique, ne change pas. Parce que tu as tellement d'autres qualités que j'ai déjà pu t'évoquer. Et ne martyrise pas tes élèves non plus !

Keigo.
"

• Aime : Lire, faire du piano, se promener tard le soir, la peinture, la musique, le café, passer du temps à la bibliothèque de l'école, la magie, l'hiver, la neige, les chats.
• N'aime pas : La foule, les hypocrites, les mathématiques, téléphoner, le sport, l'été, la chaleur, la plage.

P A R T I C U L A R I T É S :

• Étant plus jeune, il avait de nombreux piercings aux oreilles. Vu qu'il est devenu prof, il les a tous retirés; auparavant, il en possédait sept.
• Il est thanatophobe (peur de la mort).
• A toujours un long manteau noir qui ne le quitte jamais.
• Il lui arrive régulièrement d'oublier de manger.
• Insomniaque.

PART III

S T O R Y :


"Nous sommes ici en ce jour, Tara Fujiwara, pour te rendre un dernier hommage et te dire adieu. Ta présence a égayé des vies et particulièrement celles de ta famille. La mort t'a emportée bien trop jeune; notre peine est immense et inexprimable. Sache que si sur Terre, ta vie est arrivée à son terme, tu continueras une nouvelle vie où tu veilleras sur chaque personne qui t'étais chère auparavant..."

- Nagendra. Mes sincères condoléances. Je sais que c'est une épreuve particulièrement dure pour toi... Vous étiez si proches.

Durant ce qui parut de longues heures, les gens vinrent s'excuser, comme si c'était de leur faute. Comme si c'était eux qui conduisait cette voiture. Comme si c'était eux qui l'avait tuée. Nagendra ne prononça pas un seul mot tout ce temps, il hocha la tête, s'abaissa, les yeux dans le vague le plus total. Et il finit presque seul devant la tombe. Tout le monde était parti, on l'avait laissé. Sauf son meilleur ami qui l'observait depuis tout ce temps. Le japonais n'avait pleuré de la cérémonie, il était resté silencieux comme de marbre devant tout ça. Mais dans sa tête et dans son cœur, tout se bousculait, tout semblait désormais vide de sens. Il restait là, devant la tombe. Keigo lui tapa sur l'épaule, Nagendra lui fit un léger sourire, forcé, mais le premier sourire qu'il osait faire depuis quelques jours.

- Tu n'as pas pleuré de la cérémonie.
- Je n'y arrivais pas. C'est comme s'il y avait quelque chose de bloqué en moi...
- C'est parce que tu n'as plus assez de larmes pour exprimer tout ça.
- Tu crois que je vais devenir un psychopathe asocial à cause de ça ?
- Comment ça ?
- Tu sais, on voit ça dans les films ou dans les séries. Les gens qui vivent des drames et qui n'arrivent plus à ressentir d'émotions, qui sont vides et qui n'arrivent plus à avoir confiance en les autres. Tu crois que je vais devenir comme ça ? Tu crois que je vais devenir un connard antipathique ?
- Non Nagendra, tu ne deviendras pas comme ça.
- Pourquoi ?
- Parce que t'es quelqu'un de trop gentil Nagendra...

Keigo prit son meilleur ami dans ses bras et le serra fort contre lui pour lui prouver qu'il était là pour lui et qu'il le serait toujours quoi qu'il arrive. Nagendra y répondit avec ferveur.

- Allons boire quelques verres ce soir, on parlera. Ca te fera du bien. Crois-moi.



JOURNAL INTIME || Nagendra

Entrée n° 1;
Je suis né un 25 Mars 1988 dans une ville nommée Tokoname, dans la préfecture d'Aichi, au Japon. Il paraît qu'il est impossible de se rappeler les premières années de sa vie et cela se confirme pour moi. Toutefois, mes parents m'ont toujours dit que j'étais un enfant calme et plutôt sage, ce qui continua à l'école. Même lorsque j'appris à parler, je le faisais rarement. Ma mère était comme ça, elle aussi. En grandissant, elle continuait de me dire en riant que c'était quelque chose de très japonais. Mes parents étaient des parents de conte de fées; aimants, attentionnés, s'inquiétant pour leurs enfants, prêts à tout pour eux. Ma mère est née le 30 Juillet, elle est Japonaise, née aussi à Tokoname. C'est une femme très douce, avec une voix paisible faite pour raconter des histoires avant d'aller se coucher. Elle travaille comme éditrice dans une boîte assez réputée au Japon et aime particulièrement son travail. C'est une personne très fiable, dévouée et très exigeante avec elle-même si bien qu'elle en a parfois frôlé la dépression; elle pensait ne jamais être à la hauteur tant dans son travail qu'en tant que mère. Mon père est né le 14 Août, il est Indien et est né à Channai. Son père, par contre, était Japonais et a déménagé en Inde pour y rencontrer ce qui serait sa femme; d'où le nom de famile japonais. C'est un homme tout aussi doux et patient que ma mère. Il travaille dans l'astrophysique et a, lui aussi, la chance d'aimer son travail même après autant d'années. Il a d'ailleurs désespérément tenter de nous faire aimer l'astrophysique ... Sans réellement y parvenir. C'est un homme qui ressemble à un prince charmant dit Maman, immensément cultivé, attachant et considérant sa famille comme le pilier de sa vie. Mais il est aussi très maladroit et parfois un peu bordélique, ce qui dévie de l'image de "L'Homme parfait". J'ai grandi auprès d'eux pendant quatre années qui sont plutôt floues. Mais, tout au long de ma vie, j'ai eu des parents incroyables. Ils me laissaient faire ce que je voulais puis je devais en payer les conséquences, me rendre compte moi-même des erreurs que j'avais faites et essayer de les réparer. J'ai vécu dans le meilleur environnement qui, je pense, puisse exister. Mon père mais également ma mère ont toujours aimé lire et j'ai tiré cette passion d'eux. Ils m'ont également fait adorer la philosophie, ce qui est devenu mon métier. Puis la peinture, la musique, les arts, le théâtre, l'astronomie. Tout ce qu'ils aimaient, ils me l'ont transmis par passion. Je ne sais pas si je les aient déjà remercié de m'avoir aussi bien élevé, d'avoir fais ce que je suis aujourd'hui. Car je les considèrent comme les meilleurs parents au monde. Ils furent nos meilleurs alliés. Nos. Oui... Au bout de quatre ans de ma petite vie paisible et solitaire, elle est arrivée. Si on m'avait dit que j'allais avoir, pendant de longues années, la personne qui me serait le plus chère au monde, je n'y aurais pas cru. Ma sœur. Tara. Ma sœur adorée, ma Princesse, mon tout. Elle est née le 9 Septembre 1992. Et est décédée le 22 Novembre 2011.


Entrée n°2;
Pendant de longs jours, de longues semaines, de longs mois, il m'a été très difficile de parler de Tara. Quelque chose me bloquait. Mon psy, qui me force un tant soit peu à écrire ce journal, me disait que c'était à cause du choc. C'est sûrement vrai. Après tout, qui aurait pu s'y attendre ? Tara était en parfaite santé, elle est jeune, belle, si heureuse de vivre. Rien n'aurait pu présager ce qui allait se passer... Dès enfants, nous nous entendions bien. Rapidement, et puisque j'étais son grand frère, je la protégeais. Quand elle eut peur d'aller à l'école, je lui tins la main pour y aller. Quand elle croyait qu'il y avait un monstre dans son placard, je lui prouvais que non et je dormais avec elle. Si cette différence d'âge ne s'était pas vu physiquement, beaucoup auraient pu penser que nous étions jumeaux tellement nous nous entendions bien. Nos parents étaient ravis de voir à quel point notre fraternité était intense. Cela dura de longues années. Lorsque je fis ma crise d'adolescence, les rares fois où je me surpris à me disputer avec mes parents, ce fut elle qui répara les pots cassés. Nous veillions l'un sur l'autre. Quand elle rentra au collège, je fis particulièrement attention à qui elle fréquentait, si elle ne fumait pas ou rien qui ne lui soit défavorable. Parfois elle me surprenait à l'observer et elle faisait semblant de s'énerver. Mais elle faisait exactement la même chose, surtout lorsque je ramenais quelqu'un à la maison ou qu'elle voyait que je m'entendais bien avec une fille. Notre relation, même après tant d'années, restait tout aussi fusionnelle. Normalement, ce genre de relation frère-sœur a tendance à s'envenimer après l'adolescence ou à être moins intense. Mais malgré quelques disputes bénignes, ce ne fut pas notre cas. Je me souviens de tellement d'anecdotes avec elle, j'ai tellement de souvenirs... Comme la fois où, pris d'une insomnie, je suis descendu manger du chocolat. Et que, m'ayant entendu, elle est venue avec moi en grognant parce que je ne partageais pas avec elle. Ce sont sûrement des souvenirs stupides, banals et mièvres pour la plupart des gens. Mais je chéris ces souvenirs car ils sont tout ce qu'il me reste d'elle. Ca et son bracelet. Celui qui porte son nom. Vers l'âge de treize ans, j'ai demandé à mes parents un bracelet avec mon prénom dessus. Je le reçu pour mon anniversaire. Quelques semaines après, Tara commença à me le voler lorsqu'elle pensait que je ne la voyais pas. Elle me disait qu'elle adorait mon prénom et qu'elle trouvait ce bijou magnifique. De là, elle demanda aussi un bracelet avec son prénom. Mes parents lui accordèrent en riant, trouvant cette complicité et cette presque admiration de Tara pour moi adorable. Cependant, et bien qu'elle l'eut reçu, cela ne l'empêchait pas de continuer à voler le mien. Au final, ce petit jeu stupide de "Je te pique ton bracelet" s'arrêta et nous gardâmes le bracelet de l'autre au poignet. Elle me fit comprendre que ça serait sa manière à elle de penser à moi. Que, si un jour, on devait être séparés physiquement, on ne le serait jamais réellement car nous avions une petite part de l'autre toujours avec nous. Ce qu'elle me dit ce jour-là me rendit profondément heureux. Elle était tout pour moi. Elle était le Yin, j'étais le Yang. Nous nous complétions parfaitement dans une harmonie tout aussi parfaite. Quand je me sentais mal, je n'avais même pas besoin de lui dire qu'elle le devinait. Elle savait tout de moi. La seule chose que je regrette c'est de ne pas lui avoir assez dit à quel point je pouvais l'aimer et à quel point je continue de l'aimer...

Entrée n°5;
Ce jour fut à jamais gravée dans ma mémoire. Le 22 Novembre 2011. A l'époque, je travaillais beaucoup pour obtenir mon diplôme de professeur. Je savais que je voulais enseigner, j'avais toujours beaucoup aimé l'école et mes anciens professeurs m'avaient transmis eux-même leur passion pour leur métier. Je ne savais pas vraiment vers quelle matière je m'orientais, beaucoup me plaisait. J'adorais l'art plastique, la musique, la philosophie ou encore la littérature. Je considérais que j'avais encore le temps. Ce soir-là, comme d'habitude, je rentrais de la bibliothèque où j'avais travaillé tard. A peine rentré, je m'aperçus des nombreux messages laissés sur mon répondeur ainsi que sur mon téléphone portable. Je sus que quelque chose n'allait pas lorsque je me rendis compte qu'ils étaient tous de mon père et de ma mère. Je me rappelle exactement ce que me dit ma mère lorsque je répondis enfin à ses appels.

- Nagendra, c'est affreux ... Ta sœur ... Tara... Elle est morte...

Je me souviens de tout. J'ai lâché le téléphone, j'ai couru jusqu'à ma voiture et j'ai conduis jusqu'à chez mes parents. Je suis rentré et je les aient trouvé en pleurs, dans la salle à manger. Tara était sortie avec une amie jusqu'à 20h. Étant donné qu'on était en hiver, le ciel s'était vite couvert. Elle était rentrée seule à la maison. Et elle s'était faite percutée. Apparemment, la voiture allait vite. Trop vite. Peut-être le conducteur ne l'avait-il pas vue. Peut-être était-il ivre. Peut-être. Peut-être. On n'en savait rien. La voiture avait disparue. Sur la route, ne restait que le corps mourant de Tara. Un piéton l'avait trouvée et appelé les urgences mais c'était trop tard. Elle était déjà partie. Mon père, ma mère et moi restâmes ensemble toute la soirée à pleurer la mort de Tara. Nous avions du mal à réaliser que plus jamais nous ne la reverrions. Jamais. Elle ne rentrerait plus à la maison, elle ne m'appellerait plus pour des choses futiles, elle ne me serrerait plus dans ses bras, elle ne pourrait même plus dire nos prénoms. Le seul endroit où persistait Tara était désormais dans nos souvenirs ...


- J'en ai marre d'écrire.
- Déjà ? Je ne pensais pas que vous vous lasseriez aussi vite.
- C'est comme ça.
- Vous savez tout aussi bien que moi pourquoi vous ne voulez plus écrire.
- Éclairez-moi.
- C'est parce qu'on en est arrivés au cœur du problème. C'est parce que vous en êtes arrivés à parler de Tara.
- Ce n'est plus un problème pour moi.
- Vous mentez. Je sais à quoi vous pensez et je sais que ça vous ronge. Allez, faites un effort. Vous avez envie de le dire, vous avez besoin de le dire. Dites-le-moi. Dites-moi pourquoi il vous est aussi dur de parler de Tara.
- Ce ... C'était ma soeur. Elle est morte... Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise de plus ?
- Ce n'est pas ça le problème. Si c'était seulement le décès qui vous avait fait autant de mal, vous auriez arrêté d'écrire à ce moment-là. Or vous vous êtes arrêté après. Pourquoi ?
- J'en sais rien.
- Puisque vous êtes si borné je vais vous le dire. C'est parce que vous vous sentez coupable. Vous vous en voulez parce que ce soir-là vous avez travaillé tard, vous avez laissé votre portable à la maison et vous ne saviez même pas que Tara était sortie. Vous vous sentez coupable parce que vous aviez promis de la protéger et vous avez l'impression d'avoir failli à votre tâche. Vous étiez son grand frère, vous auriez dû être là pour elle, vous auriez dû pouvoir la sauver. C'est ce que vous vous dites.
-...
- Mais il n'y a pas que cela. Il y a aussi le fait que l'on ait jamais retrouvé qui a tué Tara. Il n'y avait aucun témoin, l'amie de votre sœur ne l'a pas raccompagnée et personne n'était dans cette rue à ce moment. Vous en voulez à son amie. Vous en voulez au piéton qui l'a trouvée trop tard pour la sauver. Mais plus que tout, vous en voulez à celui qui a tué votre sœur. Vous savez qu'on ne le retrouvera jamais parce que personne ne l'a vu et qu'il y a délit de fuite. Vous savez qu'elle ne sera jamais vengée. Vous savez qu'il ne sera jamais puni...

Entrée n°6;
Oui, j'en veux encore aujourd'hui à l'assassin de Tara. Comment pourrais-je lui pardonner ? J'essaye de passer à autre chose, j'essaye vraiment. Mais je n'y arrive pas. Évidemment, je voudrais me venger, le faire souffrir autant qu'il nous a fait souffert. Mais avant tout, j'aimerais le voir. J'aimerais savoir à quoi il ressemble, si c'est un homme, une femme, s'il est jeune, âgé, s'il a une famille ou s'il vit seul. Je voudrais surtout lui demander à quelle vitesse il roulait, s'il était sobre, s'il n'avait pas consommer de substances illicites. Savoir s'il a des remords. Comprendre pourquoi il s'est enfui. Comprendre pourquoi il n'a pas songé à appeler une ambulance alors qu'elle gisait encore vivante sur le milieu de la route. Il aurait pu la sauver. Apparemment, elle a perdu beaucoup de sang. Mais il aurait pu essayer. Peut-être qu'elle serait encore en vie si ce salaud avait tenté de la sauver. S'il avait fait au moins ça, je ne lui aurais pas voulu. Les accidents, ça arrive. On ne regarde pas la route, on pense à rentrer chez soi au chaud, aux cadeaux de Noël qui approche et on percute quelqu'un. Mais il n'a même pas essayé de la sauver. Il s'est enfui comme un lâche, comme un chien. Et je ne peux même pas lui casser la gueule, l'insulter, me venger. Je ne peux rien faire pour compenser ce manque immense. Rien ne peut combler la perte de Tara... Même si je le tuais, ça ne remplirait pas le vide. Est-ce que ça ne l'agrandirait pas au contraire ? Je suis perdu. J'ai l'impression de plus trouver de sens à ma vie. Je ne sais même pas ce que je veux enseigner. Je vis seul. Je n'ai plus personne à qui téléphoner le soir quand je rentre. Je n'ai plus de jolie voix qui me laisse un message sur mon répondeur parce que je ne réponds pas à son cinquantième message de la journée. Je ne m'étais jamais vraiment rendu compte, avant, à quel point Tara était partie intégrante de ma vie. Sans elle, ma vie aurait été triste, maussade. Elle m'a apporté tellement de choses. Et j'ai l'impression de ne jamais lui avoir rendu. Je sais qu'elle voudrait que je sois heureux, que je la laisse partir. Mais comment faire ? Comment accepter que la personne qui m'était la plus précieuse au monde soit partie à jamais ?

Le journal intime se remplissait de jour en jour, sans que je m'en rende vraiment compte. Je continuais mes entretiens avec la psychologue qui semblait ravie de me voir écrire. Elle disait qu'elle aimait lire mes récits et que cela lui permettait de mieux comprendre ma peine. La vieille chouette, comme je l'appelais avant, semblait s'être apaisée. Elle paraissait plus douce, plus à l'écoute, plus patiente avec moi. Ces courts entretiens me guérissaient. Parler de Tara me semblait plus facile. Lui confier mes doutes et mes peines aussi. Je n'avais jamais aimé parler de moi et pourtant, avec elle, je baissais totalement ma garde. Je savais qu'elle ne me jugerait pas, qu'elle m'écoutait et qu'elle essayait de m'aider du mieux qu'elle pouvait. Elle me fit progressivement comprendre que Tara aurait aimé que je vive normalement, comme avant. Je le savais. Depuis le début, je savais que c'était ce qu'elle aurait voulu. Mais c'était encore dur pour moi. De longs mois passèrent...

- Alors Nagendra, comment allez-vous aujourd'hui ?
- Plutôt pas mal.
- Vous avez l'air de bonne humeur.
- J'ai quelque chose pour vous.

La psychologue prit le journal intime et l'ouvrit là où j'avais laissé le marque page.

Entrée n°15;
Je crois qu'il est temps. Je crois que j'ai enfin compris. Je crois que j'ai finalement réussi à laisser partir Tara. Quand elle était vivante, elle était mon tout, elle me complétait. Je croyais que, décédée, elle était définitivement partie. Pourtant, elle est toujours là, en moi. Elle est là, dans mon cerveau, dans mes souvenirs, dans chaque partie de mon corps qu'elle a touchée, dans ce bracelet. Elle sera toujours là auprès de moi. Je l'ai assez protégée. Pendant des années, j'ai pris soin d'elle. Et maintenant, c'est elle qui veille sur moi. Même si je regrette encore de ne pas avoir pu l'aider jusqu'au bout, j'ai passé avec elle les meilleurs moments. Beaucoup de fous rires, de complicité, de moments à nous. Elle était bien plus qu'une sœur pour moi. J'ai été tellement chamboulé par sa mort que je ne suis même pas aperçu à quel point les autres autour de moi avaient aussi souffert de sa mort. Mon père. Ma mère. Ses amies. Keigo. Keigo était amoureux de Tara. Évidemment. Pourtant, même quand j'étais au plus mal, il était là pour moi. Et je n'ai pas su être là pour lui alors qu'il l'aimait. Et que je le savais. Je pense que je dois des excuses à certaines personnes, notamment à lui. Je pense surtout qu'il est temps que j'arrête de m'apitoyer sur mon sort. J'ai enfin décidé vers quel métier je me dirigeais. Je vais devenir professeur de philosophie. Ce n'est peut-être pas le meilleur des métiers, mes élèves ne seront peut-être pas intéressés et je serais sûrement impatient avec eux. Mais c'est ce que je veux vraiment faire. Et je suis sûr que c'est ce que Tara aurait voulu aussi.
Pour terminer ce journal, je voudrais vous remercier. Je ne suis pas très doué pour les au revoir mais vous m'avez beaucoup aidé. J'ai énormément appris à vos côtés. La mort de Tara restera avec moi pour toujours, c'est quelque chose que je ne peux pas effacer. Mais j'arriverais à vivre avec. Vous m'avez dit, de nombreuses fois, qu'il fallait que j'arrête de courir vers le passé et que j'aille de l'avant. Keigo m'as toujours dis la même chose. Vous aviez raison, depuis le début. Merci.


Elle me fit un large sourire auquel je répondis. La séance avait à peine duré dix minutes que je la payais déjà. Je n'eus rien besoin de dire. Elle comprit tout de suite qu'elle avait réussi, que je partais définitivement. Elle n'eut rien besoin de dire non plus. Je me levais de ma chaise, presque ému. Elle m'ouvrit la porte comme un ange qui ouvre la porte du Paradis et je disparus.

PART IV

P S E U D O : Adalgis, Ada, StrayDog.

A G E : 19 ans, bientôt 20.

N I V E A U  R P : Hm dur de se juger soi-même. Je dirais moyen.

A C T I V I T É : Ca va dépendre mais je dirais 5/10.

F O R U M :  Je le connais depuis très très longtemps en fait. Et je pensais pas qu'il existait encore jusqu'à ce qu'une certaine personne me le dise, à savoir Fabricio.

R E M A R Q U E S : Je me suis permis de bidouiller du codage (en mettant évidemment la source de base) mais de laisser les champs principaux donc j'espère que ça ne dérange pas >D.

C O D E : KaoKao m'a dit de le valider >D


Dernière édition par Nagendra D. Fujiwara le Mar 15 Avr - 11:36, édité 10 fois
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Hey ! Rebienvenue !

Je suis sûr de te connaître, en même temps, si t'étais là y a longtemps, y a des chances, hein :p Tu jouais qui, si ce n'est pas indiscret ? xD Petite idée, mais je préfère te laisser le dire, histoire de pas me ridiculiser :p

Bref, j'aime beaucoup ce début de fiche, d'ailleurs j'ai cru que je devenais dingue en la voyant disparaître d'un coup en voulant poster O_o T'as foutu quoi, heiiin !

Quoiqu'il en soit, je te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche, préviens-nous quand tu auras fini !

P.S. Je validerais bien ton code, mais j'ai peur de foutre en l'air ton codage si j'édite le post, surtout en ce moment avec Forumactif qui fait un peu n'imp. Du coup, exceptionnellement, je te laisse le valider à ma place /sbaff/
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MessageSujet: Re: We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100%   We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100% Icon_minitimeLun 14 Avr - 14:35


    Non tu ne sais pas qui je suis KaoKao, du tout, je ne te connais pas enfin *se cache*. Je me suis faite reconnaître si vite, je suis deg. Je jouais June R. Canterburry :3
    Et non, tu n'est pas devenu dingue. En fait, je l'ai postée dans les présentations du Personnel et je me suis aperçue de mon erreur qu'après alors j'ai fais un petit tour de magie vite fait. Et merciii, j'essaye de finir ça dans la fin de la semaine, je ferais un petit up, je devrais pas en avoir pour longtemps je pense. Et je vais m'auto-valider c'tte classe *^* !
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Hah ! I knew it !

Mais je te préviens, si tu disparais encore une fois comme ça, ça ira mal pour toi ! è_é (T'as quand même disparu 2 fois déjà ! Tsk !)

Et j'suis sûr que tu as fait un prof bi pour te taper Fab ! /sbaff/
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MessageSujet: Re: We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100%   We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100% Icon_minitimeLun 14 Avr - 14:51

Haha! J'ai pas eu besoin de beaucoup de temps pour te reconnaitre aussi! XD (merci à la longueur de ta fiche!)

Eh ouais, on est des résistants, on est toujours là malgré le temps qui passe XD En tout cas, rebienvenue parmi nous, ça fait plaisir de te revoir =D
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MessageSujet: Re: We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100%   We have to fight in order to live, and that's what will make us strong || N A G E N D R A || 100% Icon_minitimeMar 15 Avr - 11:38


    Merci à vous deux en tout cas, ça me fait plaisir de vous revoir aussi ♥. Et j'ai vachement rétréci sur la longueur, déconnez pas ! D'ailleurs, j'ai fini. J'ai relu vite fait donc il se peut qu'il y ait quelques fautes par ci par là.

    Merde KaoKao, tu m'as grillée.
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Je n'ai rien à dire, donc je te valide !

Gare à tes fesses !

Poêle et Tefal à nouveau réunies...si c'est pas beau, ça ! /sbaff/
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